Télétravail et choc acoustique
Philippe Fournier, audiologiste, présente un état des connaissances actuelles sur les chocs acoustiques tout en proposant quelques pistes de réflexion sur les mécanismes pathophysiologiques.
Philippe Fournier, audiologiste, présente un état des connaissances actuelles sur les chocs acoustiques tout en proposant quelques pistes de réflexion sur les mécanismes pathophysiologiques.
Karelle Massy, une conférencière malentendante, partage son parcours académique et professionnel marqué par la surdité, ainsi que sa passion pour l’entrepreneuriat.
La perte auditive est reconnue comme un facteur lié au déclin cognitif avec l’âge. Cependant, les mécanismes sous-jacents restent à découvrir. Dans cette conférence, la Dre Émily Kay-Rivest, ORL, explore les effets de l’exposition au bruit sur les fonctions cognitives et la mémoire.
Nicolas Dauman, psychologue, enseignant-chercheur (MCU) à l’Université de Poitiers, a présenté une conférence sur la misophonie et l’hyperacousie. Découvrez-en plus sur cette condition peu connue avec un expert en la matière.
Le bruit est considéré comme un enjeu de santé publique tant au travail que dans l’environnement. Richard Martin, de l’INSPQ, démystifie ce problème, ses effets sur la santé et suggère des façons de le réduire.
Un sondage commandé par Audition Québec à la firme BIP Recherche dans le cadre de la Journée nationale de l’audition du Québec du 3 mai révèle que plus de 6 Québécois sur 10 se disent gênés par le bruit.
L’acouphène est associé à la santé mentale des personnes vivant avec ce problème. Les personnes ayant des acouphènes incommodants (17%) ou non incommodants (10%) est plus susceptibles de déclarer avoir une santé mentale passable ou mauvaise par rapport aux personnes n’en ayant pas (6%). La prévalence d’un trouble de l’humeur, comme la dépression ou un trouble bipolaire, est plus de deux fois plus élevée. Une nouvelle étude publiée dans les Rapports sur la santé porte sur les facteurs associés à ce problème.
De nouvelles études ont démontré une association claire entre une perte auditive non traitée et un risque accru de démence, de dépression, de chutes et même de maladies cardiovasculaires. Des chercheurs de Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health ont découvert qu’une perte auditive non traitée augmentait le risque de développer une démence de 50% et une dépression de 40% et ce, en seulement cinq ans. Focus sur cet article du New York Times et la situation de la perte auditive aux États-Unis.
Les personnes atteintes de déficience auditive attendent sept à dix ans avant de consulter un spécialiste. Pendant ce temps, l’audition se dégrade. Mais pourquoi attendre si longtemps? La réponse de Daniel Morel.
L’audiologiste Ronald Choquette explique en détail les causes possibles pouvant expliquer la présence d’un acouphène. Il détaille les impacts possibles chez une personne
de la présence d’un acouphène. Au Québec, 10 à 15% de la population rapporte entendre des acouphènes à différents degrés.