Perte auditive : que faire?

Le magazine L’actualité a préparé un dossier sur la perte auditive où on parle notamment de dépistage, de prothèses et du rôle des différents professionnels de l’audition.

Quel professionnel de l’audition dois-je consulter en premier ?

Les audiologistes sont de bons alliés, car vous aurez une évaluation audiologique globale et vous serez référés à d’autres professionnels de l’audition selon vos besoins. Par exemple, un ORL en cas de problème physiologique ou un audioprothésiste, en cas de besoin d’une aide auditive.

Quelle est la différence entre le secteur public et le secteur privé ?

Dans le secteur public, il faut être dans la liste d’attente du département d’audiologie d’un centre hospitalier. Malheureusement, la période d’attente peut être longue.

Dans le secteur privé, les grandes bannières regroupent généralement les trois types de professionnels (audiologiste, audioprothésiste, ORL). Il y a évidemment des frais.

À vous de voir ce qui vous convient le mieux à vos besoins.

Les prothèses auditives en vente libre : défis et opportunités

C’est le sujet de l’heure, l’arrivée de prothèses auditives en vente libre, à moindre coût. Entrevue sur le sujet avec Mathieu Hotton, Ph. D., audiologiste, professeur adjoint au département de réadaptation de la Faculté de Médecine de l’Université Laval.

Vertiges : Entre mythes et réalité

Le système vestibulaire, situé dans l’oreille, est responsable des deux tiers de l’information nécessaire au maintien d’un bon équilibre. Ainsi, lorsqu’affecté par une pathologie, il peut entraîner des vertiges. Mais quelles sont réellement les pathologies pouvant engendrer ce symptôme ? Quels sont les mythes ? Y a-t-il des solutions aux vertiges ?

Qu’est-ce que la surdité professionnelle?

Le bruit en milieu de travail entraîne plusieurs conséquences, dont la surdité est le problème le plus connu. Il serait une cause d’augmentation des accidents de travail. Chez les travailleurs du Québec, la surdité professionnelle progressive est la plus répandue.

Bruits récréatifs et réglementation française

Depuis plusieurs années déjà, en France, les propriétaires d’établissements diffusant de la musique amplifiée et accueillant du public sont tenus de se soumettre à une réglementation sur les niveaux sonores en vue de protéger l’audition du public exposé aux sons amplifiés. Au Québec, il n’existe malheureusement pas de réglementation en la matière.

Le bruit qu’on ne veut pas entendre

Au Québec, une poignée de chercheurs travaille occasionnellement sur le bruit industriel. Tony Leroux est l’un d’entre eux. Professeur titulaire, vice-recteur adjoint à la promotion de la qualité et ancien directeur de l’École d’orthophonie et d’audiologie de l’Université de Montréal, il évoque les accidents graves ou mortels sur les chantiers dus à des problèmes d’audition et souligne qu’on entend peu parler des dangers du bruit industriel.

Quelques conseils pour écouter sans risque

Un jeune sur deux s’expose à une déficience auditive à cause de pratiques dangereuses. L’Organisation mondiale de la Santé propose des conseils pour écouter sans risque, par exemple se protéger les oreilles en cas de fort volume sonore. Des pratiques simples existent pour réduire les risques tout en préservant le plaisir de l’écoute!

Décibels 101

L’unité de mesure de l’énergie sonore est le décibel, ou dB. Faisons l’analogie avec une vague. Parfois calme et caressante, elle peut aussi être forte et tout endommager sur son passage.

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