
Acouphènes : état des lieux avec Sylvie Hébert
Jeanne Choquette rencontre Sylvie Hébert, auteure du livre « Acouphènes : les reconnaître et les oublier ».
En hiver, ce qui peut vraiment jouer sur votre moral, c’est bien le raccourcissement des jours et la perte de luminosité tôt durant la journée. De quoi nous donner envie d’aller nous coucher à 20h00 pour s’endormir et profiter à nouveaux de certains éclats de soleil furtifs le lendemain. Aussi difficile que soit la pénombre, n’oubliez pas que vous n’êtes pas seuls. Et, qu’en février, un merveilleux changement s’opère ; on voit encore quelques rayons de lumière traverser le ciel à 17h00 ! Ça repasse tranquillement à la normale déjà !
Par contre, certaines autres choses ne sont pas encore revenues à la normale… Dans le système de la santé, beaucoup de chirurgies sont reportées, le manque de personnel médical est encore d’actualité et l’attente est toujours aussi longue aux urgences. La pandémie a fragilisé un équilibre qui était déjà précaire. Comme on le sait, il vaut mieux prévenir que guérir. En ce moment, la prévention n’est plus possible. Que faire alors ? On ne peut que panser la plaie en espérant qu’elle ne s’infectera pas. Sincèrement, j’espère que les médecins et tout le personnel de la santé verront eux aussi la lumière au bout de ce long tunnel sombre.
Pour ce mois de la fête de l’amour, je souhaite que l’on continue de prendre soin de nos proches et que l’on ait une petite pensée pour tous ces travailleurs qui tiennent le fort pour nous contre vents et marées.
Bonne lecture !
Tamara Martinez
Rédactrice en chef
Nous sommes toujours prets à recevoir vos questions et commentaires, n’hésitez pas à nous écrire : sourdine@auditionquebec.org
– Le comité de rédaction Sourdine Express
Jeanne Choquette rencontre Sylvie Hébert, auteure du livre « Acouphènes : les reconnaître et les oublier ».
Un processus nommé synaptopathie cochléaire expliquerait la perte auditive cachée, voire indétectable par les tests cliniques habituels.
Les scientifiques étudient les capacités d’audition des crocodiliens dans l’espoir de trouver de nouvelles façons de traiter la surdité neurosensorielle humaine.
Si vous avez besoin d’une aide auditive, il est recommandé de demander à votre audioprothésiste de vous faire essayer d’abord la prothèse payée par la RAMQ. Si elle ne vous convient pas, vous pourrez toujours en choisir une autre non couverte par la RAMQ que vous devrez payer.
Choisir ses prothèses auditives : le témoignage d’Angélique Cadic, malentendante française récemment installée à Québec. 3e partie.
Des adolescents de l’école secondaire Massey-Vanier, de Cowansville, égayent le quotidien d’aînés grâce à leur brigade clownesque.
La malentendance ou la surdité semblent être des thèmes à la mode dans le cinéma français et américain. Après La Famille Bélier (et son remake américain CODA) et Sound of metal, le film On est fait pour s’entendre est maintenant disponible sur CRAVE FR (avec abonnement). Le journal L’Express de Toronto fait une recension du film plus bas dans cette page.
L’auteur-compositeur québécois Peter Peter aurait été touché par une perte auditive neuro-sensorielle soudaine, le laissant partiellement sourd d’une oreille. «Pour un musicien, ça demeure une sacrée claque, surtout quand vient le temps de mixer des hi-hats. La brutalité de l’événement m’a aussi laissé un acouphène. Je dois avouer que c’est psychologiquement où j’ai eu le plus de mal à m’en remettre», a-t-il écrit sur sa page Facebook.
L’audioprothésiste Karine Ouellette prodigue ses conseils pour s’adapter à ses nouvelles aides auditives : s’accorder du temps, développer dextérité et habileté et obtenir du soutien de l’entourage.
COMITÉ DE RÉDACTION
GRAPHISME ET MISE EN PAGE